Lorsqu’il s’agit de faire un choix en matière d’aménagement d’une terrasse, deux options s’offrent aux propriétaires d’un logement. Soit l’installation d’un garde-corps pour prévenir tout risque de chute, soit l’installation d’un garde-corps, puis d’une pare-vue afin de conserver sa vie privée. Cependant, avec Rikksen, vous pouvez bénéficier des avantages de ces deux installations avec le garde-corps pare-vue PUBLIC-ALU.
Qu’elle est l’utilité d’un garde-corps perforé ?
Un garde-corps est une installation permettant d’assurer votre sécurité ainsi que celles de vos proches. Ils s’installent principalement dans tout endroit potentiellement dangereux. Les garde-corps peuvent être installés dans des escaliers ou dans tout lieu susceptible de présenter un risque de chute. Cependant, l’endroit où l’installation d’un garde-corps est nécessaire, voire, obligatoire, reste sur une terrasse et une toiture-terrasse.
Le garde-corps RIK-GC-PUBLIC-ALU est une gamme complète de garde-corps pour terrasse accessible en public.
Ce garde-corps Rikksen est disponible dans plusieurs matériaux, à savoir :
- En tôle perforée ;
- En métal déployé ;
- En polyméthacrylate de méthyle ou PMMA ;
- Ou encore en polycarbonate.
Ce type de garde-corps fait également office de pare-vue. Ce dernier est perforé afin d’assurer la vie privée des habitants du logement sans pour autant afficher une surface pleine qui serait moins esthétique. Naturellement, les dimensions de nos garde-corps s’adapteront à vos besoins.
Norme et réglementation d’un garde-corps
L’utilisation d’un garde-corps répond à des normes particulièrement strictes. Tout d’abord, son installation sur un palier d’étage, un balcon ou une terrasse est obligatoire. Ce garde-corps doit être d’une hauteur minimale de 1 mètre. De plus, s’il dispose d’éléments horizontaux comme des barres, une zone de protection de 45 cm doit être installée à partir du sol pour éviter qu’un enfant ou un bébé passe sous la protection. Cette réglementation en matière de dimension est régie par la norme NF P01-012.
